KessTaVu ? - KiteToile |
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En loccurrence : L'Arme Fatale 4 (Lethal Weapon 4 in V.O.). Beaucoup diront - et a vrai dire ils
n'auront qu'a moitié tort et donc qu'a moitié raison - que la fine équipe "Arme
Fatale" n'est qu'un clone grand écran de Starsky & Hutch. Ok. L'Arme Fatale
n'est qu'une autre de ces séries "buddy movies" ou
au-debut-ils-ne-s'aiment-pas-puis-ils-apprenent-a-se-connaitre- Nempêche, malgré tous les clichés du genre (le couple blanc/noir, le père de famille/le célibataire névrosé...), L'Arme Fatale reste une de ces séries que l'on aime revoir, comme on aime revoir de vieux potes juste pour boire un coup. Sauf que ce coup-ci, pour leur 4eme volet, les vieux potes n'y ont pas été de main morte sur la boisson. Un vrai délire ! On oubliera aisément l'histoire policière a proprement parler (la mafia chinoise, des faux billets et tout ce qui s'en suit. Le seul intérêt est Jet Li, le Méchant, glacial et magistral). Par contre, au registre déconne on sent qu'on a bien dû rigoler sur le plateau : Gibson et Glover cabotinent a plein tube, Pesci est "Okay ! Okay !", Tucker en fait trop, Russo est enceinte jusqu'au dents... Le fait est : tout a déjà été dit dans les 3 autres épisodes. Plus de romances (Riggs est désormais installé, moins névrosé ; Murdoch est toujours bon père de famille), plus rien a dire. Le néant. Et donc, quand on a plus rien a dire, on raconte n'importe quoi. Et on est limite politically correct (cf. le gag de la grand-mère a lhôpital). On en est pas au niveau d'un Y-A-t-Il... mais tout même. L'ouverture, comme d'habitude tout feu tout flamme, donne le "la". On croit regarder le rêve d'un des héros tellement ca parait incroyable (un homme recouvert de métal mitraille toute une rue et enflamme tout ce qui bouge). L'action est donc au rendez-vous, avec moults cascades de voitures, explosions et autres cabrioles. Jusque la scène finale contre le Grand Méchant, très efficace et très bien mise en scène (Donner n'est vraiment pas manchot). L'enthousiasme des acteurs est palpable, qui veulent casser leur image de durs a cuire et s'amuser un bon coup. De grands enfants lâchés dans la cour de récré. Voilà ce qu'on a l'impression de voir à lécran. "Entertainment , man", comme disent les amerloques. Chez nous ca donne Navarro. |
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